Scopy au pays des Mayas » Réflexion de comptoir https://scopy.eu Récit d'une balade ici et là Wed, 30 Apr 2014 19:45:58 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.6 Retour à la maison https://scopy.eu/?p=513 https://scopy.eu/?p=513#comments Tue, 28 Jan 2014 01:59:32 +0000 admin http://scopy.eu/?p=513 Après ce passage à Lyon et ce rapide passage au ski, je suis donc finalement rentré à la maison pour passer noël en famille. Retour en Vendée après un an d’absence.

Etonnament, les choses ne changent pas tant que ça. Il est étonnant de se dire que l’on a vécu beaucoup de choses mais que la terre ne s’est pas arrété de tourner, étonnant de revoir ses parents comme si c’était hier. Enfin de mon point de vu, du leur, les mois ont été par moment un peu long. Mais la vie a continué son cours, la maison a évolué doucement au rythme des travaux, La Tranche continue à battre aux rythmes des marées… Etonnant de revoir ce vieux chien, sourd et à moitié aveugle nous faire une fête monumentale. Et certains disent que les chiens n’ont pas la notion du temps. Etonnant, aussi, le plaisir que l’on a à retrouver ce quotidien, à retrouver cette famille, à se réunir pour Noël, à s’offrir des couilles de kangourou. Etonnant de voir que des détails changent malgré tout, que la vie commune, quotidienne, se fait parfois pesante, à mesure que les gens évoluent et que les attentes de chacun par rapport aux autres se font fluctuantes, plus toujours en accord avec la réalité. Partager un quotidien ne semble plus possible, mais cela ne rend que les retrouvailles plus agréables.

Au milieu de ce séjour j’ai pu faire une paire de sessions de kite, respectivement les 22 et 23 décembre, dans les prémisses d’une petite tempète d’ouest comme on les aime, des vents relativement forts, bien trop forts pour mon niveau, mon état physique et l’eau à 10°C. Mais au moins je sais ce que ca fait de faire du kite avec des chaussons, une intégrale épaisse et une cagoule. Et c’est pour cela que l’on va dans des pays chauds !

Retrouver le plaisir de marcher sur la plage déserte pendant que la mer est déchainée et que les vents hurlent dans nos oreilles, arriver et allumer un feu, boire un chocolat chaud à la cannelle en écoutant du Dire Straits … Tellement de choses qui nous rappellent que la vie quotidienne est douce. Mais rapidement, l’hiver se fait froid, l’envie de bouger recommence à démanger et il va être temps d’expérimenter un nouveau bout de vie.

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Roebourne’s cup https://scopy.eu/?p=393 https://scopy.eu/?p=393#comments Tue, 30 Jul 2013 09:38:17 +0000 admin http://scopy.eu/?p=393

Summary

After an amasing drinking week-end at the Roebourne’s cup sponrised by National Tyres, which means free entrance and alcohol, I didn’t see a friend who was suppose to come because of a jealous boyfriend… Maybe another time !

Les Australiens, tout comme pleins d’autres gens de pleins d’autres pays, ne ratent jamais une occasion de se torcher la gueule proprement en étant bien habillé.

L’occasion de la semaine était la Roebourne’s cup. Un truc avec des canassons qui tournent en rond sur de la terre bien rouge, bien australienne. On peut aussi caractériser la journée en disant que les gens dépensent des fortunes pour prévoir qui va gagner, ceux qui ont raison sont contents et les autres tirent la gueule. J’avoue avoir du mal à comprendre le principe. Enfin au final, lorsque les gens tirent la gueule, ce n’est jamais bien long, puisque celui qui a gagné va au bar payer une tournée.

Je me suis retrouvé la-bas car National Tyres sponsorisait l’événement en partie. Comme la moitié des boites du Pilbara, mais bon, c’est l’occasion de picoler à l’œil et pour les filles de sortir des robes toutes plus étonnantes et de mauvais gout les unes que les autres. J’exagère, il y en avait des presque correctes, mais bon … Le bon gout australien dans la campagne profonde, d’autant plus une campagne profonde pétée de thunes, je vous laisse imaginer, c’est pas glamour. Et oui, vous allez devoir imaginer, parce que je n’avais pas mon appareil photo, et la seule photo n’a pas été prise par moi. Mais on m’y voit, avec mes accompagnatrices pour la journée. Les femmes de mes boss et amis de mes boss. Et comme elles n’ont pas toutes l’âge de porter des robes absurdement roses, jaune fluo et autres couleurs importables, leurs tenues ne sont pas représentatives.

Au final cette journée était quand meme bien marrante, je sais désormais que si jamais je passe à Perth, j’ai un endroit où dormir : la femme de mon boss ayant passé une bonne heure à me vendre sa fille (« not the one you met, the good looking one ») arguant qu’elle squattait la maison familiale et qu’il était temps qu’elle se barre. Bon, j’ai vu des photos, c’est vrai qu’elle est plutôt jolie, mais un poil jeune et Perth n’est pas sur ma route à court terme. Une autre fois.

J’ai aussi vu une étoile filante, une copine passant par Karratha sur sa route vers Darwin a fait un bref stop là où je passais la soirée. Elle était invitée et aurait dû passer un peu plus de temps mais il faut croire que son copain n’a pas aimé ma tête, en tous cas il a fait une crise de jalousie monstrueuse, a tenté de me broyer la main deux fois (en disant bonjour et au revoir, à 3 minutes d’intervalle) et c’est un peu comporté en … disons, pas super gentleman. Ca m’a fait rire, beaucoup. On va dire qu’il était tendu parce qu’il venait juste de prendre la décision d’arrêter de fumer.

La jalousie est quand même un truc particulièrement débile. J’avais déjà vu des filles faire ce genre de cirque, et bien c’est infiniment plus ridicule chez des mecs. Ils rentrent dans ce jeu de domination/possession en mode « Moi homme fort ! Femme à moi ! Fuck off ! » Oui et sinon elle a le droit d’exister ou tu penses à sa place ? Haaa, tu cherches à montrer que tu es l’homme dominant et veut jouer à celui qui a la plus grosse ? Et ca plait aux femmes faibles ça ? Testostérone et ce genre de conneries ? Merci du conseil, je ne savais pas. Et sinon, je peux juste parler avec une copine où tu tiens vraiment à lui casser les couilles en étant ridicule ? Ridicule it is ! Have a good night, I will keep drinking !

Hey mam’zel’, si tu passes par là, on aura peut-être une chance de se recroiser plus de 3 minutes si tu décides qu’il est trop casse-couille ou qu’il se remet à fumer. Mais j’avoue que pour que je sois cordial avec lui, il va vraiment falloir qu’il se détende, parce qu’il part de loin.

P.S. Suite a une expérience réussi par un homme particulièrement brave, il semblerait que les filles préfèrent les hommes complètement torchés et mal habillés tentant (oui, tu ne me feras pas croire qu’à 3g tu étais efficace) de défendre la veuve et l’orphelin et non pas les gros pourceaux jouant de testostérone.
Putain j’aurais aimé être la.

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Un quart de siècle https://scopy.eu/?p=381 https://scopy.eu/?p=381#comments Wed, 03 Jul 2013 12:15:49 +0000 admin http://scopy.eu/?p=381 Ça fait déjà un bout de temps que je traine mes guêtres sur cette planète et pourtant ça ne fait pas si longtemps que ça que j’ai l’impression de vivre, disons de faire mes propres choix, dictés uniquement par mes envies présentes et futures. Et c’est quand meme plutôt cette direction qu’une vie doit prendre, la vie est bien trop courte pour perdre du temps à faire des choses que l’on n’a pas envie de faire.

Certains me diront et d’ailleurs me disent que ce n’est pas une vie, que la réalisation de rêves ne dure qu’un temps et que la réalité reprend ses droits un jour ou l’autre.

Je ne suis pas d’accord, absolument pas d’accord. Je ne vois aucune raison pour laquelle cela devrait se dérouler ainsi, la vie est absurde, elle n’a aucune sens, alors pourquoi devrait-elle être contraignante ? La vie n’est qu’une succession de présents, de situations. Nous avons la chance d’être libre, nous avons donc la chance de choisir la situation dans laquelle nous sommes et celle dans laquelle nous serons. Ce que certains appellent des contraintes, je les appelle des compromis. Il est en effet difficile de vivre en ne faisant aucun compromis, mais il est parfaitement absurde de se trouver dans une situation contraignante, que l’on n’aurait pas choisie.

Le réveil sera difficile… Une phrase que beaucoup de gens ont pensée, en me le disant ou non, et que j’ai donc régulièrement entendue. Cependant je ne la comprends pas. Je dirais que cela signifie que la réalité me rattrapera un jour et que je devrai agir en conséquence. Cela sous-entend plus ou moins que je devrai alors choisir en fonction de cette réalité et non en fonction de mes envies. C’est-à-dire que les contraintes seront telles que je ne pourrai plus exercer ma liberté et choisir la situation dans laquelle je me trouve de mon plein gré ? J’avoue qu’à part l’emprisonnement, j’ai du mal à envisager une telle situation. Sachant que, par respect et pragmatisme, je tente de me plier aux lois du pays où je me trouve, je pense ne pas arriver en prison.

Il reste la prise d’otage. J’avoue que je serai emmerdé.

Sans aller aussi loin, beaucoup de gens doivent entendre par la qu’un jour il faut trouver un métier, payer des impôts, s’acheter une maison, mettre de l’argent de coté pour ses vieux jours … Rien de tout cela n’est une contrainte. Payer des impôts est un choix, si tu ne travailles pas tu ne payes pas d’impôts. Certes, à partir du moment où tu travailles, il y a peu de pays où tu ne seras pas imposé. Mais l’impôt n’est pas indispensable au fonctionnement d’une société, ce n’est qu’un paiement en échange de services rendus par une entité appelé état. Il est donc possible de choisir les services et le montant que l’on souhaite payer en retour, c’est le principe d’une démocratie. Et si ce fonctionnement est un tout petit peu cassé en France, ce n’est pas le seul endroit où il est possible de travailler. Il est ensuite possible de feinter et de ne pas payer d’impôts alors que l’on devrait. Ce n’est jamais qu’un prix à mettre sur un jeu surement très amusant avec le fisc. La maison est évidemment un choix, et mettre de l’argent de coté pour ses vieux jours n’est qu’un compromis entre le niveau de vie d’aujourd’hui et celui qu’on veut avoir plus tard.

Le réveil sera-t-il difficile ? J’en doute. Ce ne sera jamais qu’une nouvelle vie qui commence. J’ai lu un truc disant qu’une vie durait généralement entre 5 et 7 ans. Et au regard de ce que j’ai vécu, cela semble se tenir. Petite enfance dont je ne me souviens pas, enfance, collège et lycée. Ensuite la prépa et l’école, qui peuvent aller plus ou moins ensemble, c’est grossier. Aujourd’hui je voyage, je doute que cette vie dure 5 ans, je risque de me lasser avant. La prochaine vie sera très surement tournée autour d’un vrai travail et/ou une histoire de famille, la suivante est bien trop loin.

A quel moment ce fameux réveil arrivera-t-il ? Lorsque je ne vivrai plus mes rêves ? Lorsque le bonheur sera inatteignable ? Un chanteur qui a de très jolis textes, Aldebert pour ne pas le citer (et si certains veulent dire que j’ai un cœur de midinette, hurler des choses du genre « GAY ! », faites vous plaisir, je vous emmerde cordialement), a écrit que le bonheur c’est de vouloir ce que l’on a déjà. Si on s’en tient à vouloir ce que l’on a, comment le rêve pourrait-il prendre fin ?

Grosse pensée à mes parents, mes grand-mères et la famille que j’aime beaucoup. Pensée à tous ces amis que je n’ai pas vus depuis un moment et à tous ceux dont j’ai croisé la route. Je passerai quelques semaines en France pour noël, j’organiserai un marathon des gens que je n’ai pas vu depuis trop longtemps.

La vie est un rêve,

Bonne nuit

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Parky Lodge https://scopy.eu/?p=375 https://scopy.eu/?p=375#comments Mon, 01 Jul 2013 12:48:30 +0000 admin http://scopy.eu/?p=375 Derrière ce petit nom se cache un monde étrange, un monde plein de rêves, de désillusions, de chaleur et de pluie, un monde où le temps passe à une allure surprenante et où les journées se ressemblent. Dans ce monde particulier, les seuls réels changements ne se voient pas car ce ne sont que des nombres sur une page internet. Ces nombres augmentant rapidement sont le sésame des rêves à réaliser.

Ici, un australien à l’intention de rester deux ou trois ans afin de mettre quelques centaines de milliers de dollars de coté (3 ou $400 000 en 2 3 ans, rien d’impossible) dans le but de s’acheter une maison, la louer et voyager avec le loyer, peut-être faire des études à un moment ou un autre, le tout en envoyant des sous à sa mère, veuve depuis peu.

Là, un allemand travaillant pour quelques mois, afin, lui aussi, de payer ses études (je ne ferai pas de commentaires sur le droit aux études gratuites en France, c’est une chance, absolument pas un droit), nous avons aussi un irlandais économisant avant de rentrer au pays en faisant un nouveau passage par l’Asie.

De ce coté, nous avons une paire de français arrivés depuis peu, ils galèrent à trouver un boulot, c’est la fin de l’année fiscale donc les jobs se font rares. Leur rêve est ce qui les faits tenir et continuer à galérer, ils veulent monter un village touristique en Thailande.

Encore un australien, il fait du moto-cross depuis toujours et a un très bon niveau mais n’a pas pu faire suffisamment de compétitions, il met des sous de coté pour faire une saison complète et se faire sponsoriser.

On m’y trouve aussi, français en vadrouille, travaillant pour financer la suite des aventures, une petite part en Australie, surement une grosse part en Asie.

Dans ce monde de rêves encore à réaliser, les désillusions rattrapent ceux qui n’y croient pas suffisamment, n’essayent pas assez. Il y a du travail pour tout le monde, il faut de la chance de la persévérance et une bonne dose de volonté.

Ce monde est purement masculin, étonnamment. A croire que le beau sexe n’a pas de rêves ou ne se donne pas les moyens de les réaliser. Il faut dire que les conditions climatiques ne sont pas idéales, la saison chaude est très chaude, avec beaucoup d’humidité et des journées à plus de 50°C. La saison sèche est bien plus agréable mais je dois dire qu’elle reste encore un mystère pour moi, sachant qu’il pleut régulièrement… L’ambiance masculine est surement aussi un peu machiste et les boulots sont tous très physiques, mais tout se fait à l’aide de machines, l’argument ne tient pas… Au final, il n’y a que des hommes, à une époque il y avait une fille pour cent mecs. La rumeur dit qu’il y en a désormais une pour dix, c’est en tout cas le ratio ici à Parkby Lodge.

Dans ce monde rythmé par le travail, peu de choses sortent de l’ordinaire, toutes les journées sont identiques, avec de petites variations le week-end, et encore… Tout le monde à ce sentiment étrange d’être prisonnier de ses rêves, le temps passé ici est compté, chaque journée, chaque salaire nous rapproche un peu plus de la date de notre libération.

De temps en temps nous avons des visites, une paire de demoiselles est passée hier soir, une allemande et une canadienne d’origine asiatique, amies d’un anglais. C’est fou à quel point un rire féminin semblait décalé dans ce monde si particulier, c’était sacrément rafraichissant. Elles étaient au cœur des conversations, même après leur départ, tout le monde ne pensait qu’a la suite des événements, l’après Karratha, l’accès à cette nouvelle vie, la porte de nos rêves enfin ouverte.

Ouais, je mettrai des photos plus tard.

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L’Australie https://scopy.eu/?p=367 https://scopy.eu/?p=367#comments Sun, 16 Jun 2013 10:14:05 +0000 admin http://scopy.eu/?p=367 Bon … Un mois et demi désormais que je bosse, j’avoue que le temps passe assez vite et que le compte en banque se recharge correctement mais malgré tout, monter des pneus c’est un peu casse couille à la longue. Enfin on fait ca pour la suite qui promet d’être particulièrement sympathique si j’arrive à faire tout ce que je veux. Et a priori, si le compte en banque suit (et il suivra) ca ne devrait pas être trop un souci.

L’Australie, ca fait maintenant 6 mois que je suis là, (putain déjà !) le temps passe atrocement vite. Il est temps de faire un petit retour sur le pays.

L’Australie est un pays qui est grand, immense, vide. On y trouve principalement des kangourous, quelques émeus et des australiens, qui ne sont vraiment pas l’espèce la plus répandu mais ce sont pourtant eux qui prennent le plus de place.

Je ne m’avancerai que sur les australiens du WA qui sont les seuls que j’ai rencontré, je ne sais pas si cette analyse peut s’extrapoler à l’ensemble du territoire.

La première chose à savoir sur l’australien est qu’il est très peu varié, il existe de grands standards et chaque australien entre dans l’un de ces standards qu’il serait possible de détailler de manière exhaustive. Cette étude ne prétend pas être exhaustive mais donnera malgré tout un bon apercu.

Tout d’abord, il est important de connaitre la base de l’histoire australienne, cela explique grandement beaucoup de choses. L’Australie est un pays de bagnards, des anglais y ont envoyé il y a quelques centaines d’années leurs bagnards afin de les foutre à un endroit où ils ne feraient chier personne. Du coup, les australiens sont des descendant de bagnards. Une grosse approximation pleine de préjugés nous dira ainsi que les australiens descendent d’une bande de gros bœufs intellectuellement limités et vivant dans un respect fort (meme si imposé) de l’autorité et de l’autre (il apparait en effet, d’après d’autres préjugés, que l’honnêteté envers ses pairs est une caractéristique des milieux criminels). Le standard de l’australien a donc dérivé vers un être honnète et très respectueux de l’autorité meme si un peu bourrin, machiste et très racistes. Les années et les générations effaçant cet aspect criminel tout en laissant les coté permettant une douce vie en société sans trop de vagues.

Le coté non intellectuel de l’australien a permis de créer une société où la relation au travail est totalement inversée par rapport à nos contrées françaises. En effet, il sera très facile d’obtenir des salaires très important pour toute personne travaillant de ses mains alors qu’un travail intellectuel sera beaucoup moins valorisé. Par exemple, le salaire à l’embauche de n’importe quel ingénieur sera compris autour de 50 ou 60k$ alors qu’un conducteur de camion ou un électricien pourra commencer à moitié plus. Et je ne parle pas des mines où les salaires d’embauche sont à 120k$ pour celui qui fait la plonge.           Cependant, il se peut que cet analyse soit fortement biaisé et ne s’applique qu’au WA. Il est de plus absolument pas raffiné et mange donc de la merde, meme si sa viande est excellente, il tient à la carboniser et la mange « bien morte ». Ce qui est un tout petit peu dommage.

L’Australien des champs ressemble très fortement à l’Australien des mines, il possède un gros 4×4, un bateau s’il est proche de la mer, un barbecue et passe donc une grosse partie de ses journées à boire de la bière, pécher et bouffer du bacon.

On a aussi l’Australien des villes qui est en fait un peu le meme, sauf qu’il vit en ville.

L’Australien adore les uniformes, tout le monde porte un uniforme, les écoles ont des uniformes, les cadres sont en costard, les travailleurs sont en vêtements à haute visibilité (jaune ou orange fluo) les serveurs sont en noir et les gens en day off sont en short et claquettes.

Ce pays est aussi atrocement sous développé d’un point de vue organisation et tout métier intellectuel. C’est un pays du tiers monde informatique (surement car il est vraiment vide pour internet), l’accès à internet est horriblement cher, les sites web et système d’information sont ancestraux … Par exemple, les Mac Do emploie au moins deux fois plus de personnes qu’en France et le temps d’attente est au moins triple, c’est juste impressionnant d’inefficacité.

Voila pour une rapide analyse de ce pays, je sais que je ne donne pas beaucoup de nouvelles en ce moment mais je ne fais que bosser et il ne se passe pas des masses de trucs palpitants. Je vais essayer de mettre des photos.

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